lundi 24 octobre 2011

PERCUMANÍA

Je viens de recevoir ma copie d'un manuel sur les percussions latines et africaines, réalisé en collaboration avec Ángel Pereira et Nan Mercader. Il s'adresse principalement aux débutants, mais ratisse large. Pour moi, ça a été une sorte de masterclass; en préparant les séquences BD, j'ai appris des détails que j'ignorais sur certaines percussions.
J'aime ce genre de travail ! Je serais bien disposé à récidiver...

mercredi 14 septembre 2011

DOUKUFEST 2011 - Mohsen Makhmalbaf

Invité spécial du festival, le cinéaste iranien Mohsen Makhmalbaf participa a un débat sur le présent et le futur du cinéma d'art en Iran. Hélas, les questions sur la situation politique prirent rapidement le dessus. L'intérêt est bien compréhensible, mais c'est toujours dommage de ne pas profiter de la présence d'un artiste d'une telle envergure pour parler cinema !



Festival special guest, the Iranian film-maker Mohsen Makhmalbaf participated in a debate on the present and the future of the art cinema in Iran. Unfortunately, the questions took rapidly an (expected) turn, toward the political situation. This interest is completely understandable, but it is a pity not to take advantage of the presence of such an artiste to talk movies !

dimanche 4 septembre 2011

Lecture on the Iranian Cinema - Conférence sur le cinéma iranien

25.07.11, DokuFest, Prizren
Après la mention de quelques films d'importance transcendantale de l'époque du Shah, a suivi un résumé du cinéma iranien depuis la révolution islamique et jusqu'à nos jours (du moins, c'était mon intention... hélas, le temps était limité). La production de Mohsen Makhmalbaf (invité du festival), de ses filles Samira et Hana, ainsi que de son épouse Marzieh Meshkini, est assez importante. L'autre géant du cinéma iranien, Abbas Kiarostami est aussi prolifique. On ne peut pas éviter de parler de réalisateurs comme Jafar Panahi, Majid Majidi, Bahman Ghobadi... et il en reste beaucoup d'autres (Asghar Ferhadi, Rafi Pitts, Bahram Bezai, Sohrab Shahid Saless, Tamineh Milani... une autre fois, peut-être). Le film iranien d'art et essaie étant l'un des plus fécond au monde, il y a du travail à faire !






After a brief mention of some transcendental movies from the Shah's era, there came an overview of the iranian cinema from the islamic revolution up to the present (at least, this was the intention, but the time was limited). The production of Mohsen Makhmalbaf (invited by the festival), his daughters Samira and Hana, and his wife Marzieh Meshkini, is quite important. The other giant of the iranian cinema, Abbas Kiarostami is as well rather prolific. One can not avoid talking about directors as Jafar Panahi, Majid Majidi, Bahman Ghobadi... and so many others (Aghar Farhadi, Rafi Pitts, Bahram Bezai, Sohrab Shahid Saless, Tamineh Milani... maybe another time). The iranian art cinema being one of the most fecund in the world, there's work ahead!

dimanche 17 juillet 2011

Le cinéma iranien au DokuFest

Le lundi 25 juillet, à 16h, au Hamam de Prizren, je donnerai une conférence sur le cinéma iranien, avec le réalisateur Mohsen Makhmalbaf comme invité spécial du festival DokuFest.


IRANIAN CINEMA – AN OPEN-END REVOLUTION?

Despite all prejudices that its actual political situation can generate, Iran is culturally and linguistically closer to Europe that we usually imagine. And since a quarter of century, it amazes us with a surprisingly inventive cinematography. Mohsen Makhmalbaf, Abbas Kiarostami, Majid Majidi, Jafar Panahi, Samira Makhmalbaf and many others have managed to draw the attention of both the demanding critics and the simple moviegoers. During an afternoon, we will try to overview the chronological hot-spots of this specific New Wave, but also invite you to a reflection: is it a successfully ended revolution, or is there still more to come?
And nobody could help us better in finding the answer than one of the greatest living Iranian filmmaker, Mohsen Makhmalbaf, who will honor us with his presence.

vendredi 1 juillet 2011

Salon du Livre des Balkans, Paris 2011




Cette année, n'ayant pas de nouveauté, et étant débordé par le travail (afin que l'année prochaine il y en ait!), je n'ai pas participé à d'autres festivals que celui du Salon du livre des Balkans à Paris. J'avais une Carte Blanche, ce qui en traduction voulait dire une conférence "dirigée" (ou interview publique, c'est comme on veut) le premier jour, et une table ronde le deuxième. Et des dédicaces les deux jours. Épuisant, mais agréable. De belles rencontres.

Prishtina 2010

Inspirés (et encouragés) par l'exposition de mes originaux à côté de ceux de Matisse, les Kosovars décident de m'inviter à m'afficher chez eux aussi. En juillet 2010, des originaux de Le Roi invisible et Les Amants de Sylvia (celui-ci, pas encore publié) sont exposés au Strip Dépôt, dans la capitale du Kosovo. La soirée est animée par un All-Stars du jazz kosovar qui joue aussi quelques-unes de mes compositions.

C'est également une occasion unique de parler de mon travail à un secrétaire du State Department...!

Une Jam avec Matisse

En mai 2010, on organisa une exposition sous le titre Matisse - Jakupi : Dialogues en Jazz, à Douai, près de la ville natale du grand maître. Une dizaine de planches du Roi invisible (Futuropolis 2009), et neuf planches que Matisse résalisa pour son livre Jazz (1947).

Saint Gaudens 2010


Le Salon de Saint Gaudens m'a offert une interview pour la Dépêche et un vol en aéroplane de quatre places (expérience hallucinante!, merci à Christophe Gibelin, la star de la BD d'aviation !).

Sélection Angoulême 2010

Les éditions Dupuis ont sélectionné Jour de grâce (avec Marc N'Guessa au dessin) pour la soirée Hors Compétition à Angoulême 2010. S'agissant de notre première œuvre publiée dans cette maison, et compte tenu de l'ampleur de son catalogue, pour une fois j'ai eu l'impression qu'un éditeur pariait sérieusement sur mon travail...

La Brique d'Or pour Le Roi Invisible


C'est presque obligé de commencer ce blog par le prix décerné à mon premier livre comme auteur complet (scénariste ET dessinateur). C'est un souvenir très agréable.
C'était au Festival de Toulouse, en 2010.